CHAUNY (2018) / USEDA et Ville de Chauny
ZAC Saint Eloi
BT, EP et FT
Pose des réseaux BT (240²+150²) et EP souterrains (4×10²cu);
Reprise de branchements (35² alu) ;
Fourniture et pose de coffrets encastrés ;
Génie civil, fourreaux et chambres télécom ;
Dépose des supports existants ;
Fourniture et pose de 38 mats ;
Fourniture et pose de 48 lanternes.
CHAUNY (2018/2019) / USEDA et Ville de Chauny
GUP Boulevard Bad Kostritz
BT, EP et FT
Pose des réseaux BT (240²+150²) et EP souterrains (4×10²cu);
Reprise de branchements (35² alu) ;
Fourniture et pose de coffrets encastrés ;
Génie civil, fourreaux et chambres télécom ;
Dépose des supports existants ;
Fourniture et pose de 135 mats ;
Fourniture et pose de 150 lanternes.
TERGNIER (2018) / USEDA et Ville de Tergnier
Rue de Châteaudun
BT, EP et FT
Pose des réseaux BT (240²+150²) et EP souterrains (4×10²cu);
Reprise de branchements (35² alu) ;
Fourniture et pose de coffrets encastrés ;
Génie civil, fourreaux et chambres télécom ;
Dépose des supports existants ;
Fourniture et pose de 36 mats ;
Fourniture et pose de 36 lanternes LED.
LUMIERE SUR L’ECLAIRAGE PUBLIC
Bruno Dubois et Bruno Fremaux sont les techniciens de la SETI qui veillent sur l'éclairage public. Ils assurent aussi des astreintes pour parer à toute urgence.
CHAUNY - Le jour, il passe inaperçu, mais la nuit l’éclairage public se révèle indispensable pour le confort et la sécurité des Chaunois. Zoom sur un équipement du quotidien.
Depuis le début de l'année, une entreprise chaunoise a décroché le marché de l'entretien de l'éclairage public de la ville. Derrière les milliers de candélabres qui jonchent les rues, des petites mains en prennent soin, soit directement sur le terrain, soit derrière un écran d'ordinateur. Une mission d'entretien qui incombe à la SETI (Société d'études et travaux industriels), basée boulevard de l'Europe.
Pour veiller au bon fonctionnement des 2 702 points lumineux, leur entretien est mensuel. « Une fois par mois, je tourne dans la ville pour repérer les lumières qui ne fonctionnent pas », détaille Bruno Fremeaux, technicien de la SETI. Pendant deux heures et demie, il scrute la moindre défaillance. « Bien sûr, je ne peux pas tout contrôler. Je reste dans les artères principales et je regarde les rues perpendiculaires. »
Pour chaque secteur, le technicien relève les éventuelles défaillances et note la référence du luminaire. Ce repérage a lieu un vendredi soir par mois, à la tombée du jour.
« Comme je ne peux pas tout voir, le lundi suivant je me rends en mairie pour rencontrer le directeur des services techniques. » Le DST, Jean-Pierre Laurent, tient un cahier de doléances où les Chaunois sont invités à faire part de leurs remarques sur l'éclairage public. « Si une lampe clignote, je peux très bien passer au moment où elle est allumée. Le cahier de doléances permet d'être complet », souligne Bruno Fremaux.
Les travaux de maintenance peuvent alors débuter. Avec son collègue Bruno Dubois, Bruno Fremeaux se rend de lampadaires en lampadaires. « On a une carte où tous sont référencés par secteur. De telle manière à savoir de quelle armoire de commande ils dépendent ».
Ainsi, les techniciens de la SETI sont capables de couper l'éclairage d'un secteur ou au contraire de le réarmer. Les deux salariés sont habilités à travailler sous tension et également à manipuler la nacelle. « Les travaux se résument souvent à changer une ampoule ou bien un fusible. » En moyenne, l'équipe en change une dizaine par mois.
L'hiver, le chiffre peut être plus élevé. « Les lampes subissent des contraintes de températures plus importantes, note Romain Farez, directeur technique de la SETI. Depuis le début de l'année, nous sommes intervenus à 81 reprises. En ce moment, on revient à une période plus calme. Les lampes sont moins sollicitées. »
Une dizaine de réparations par mois
Les points lumineux chaunois sont à 80 % des lampes à sodium haute pression qui « donnent une lumière jaune-orange ». Les lampes à halogène représentent 13 % du parc. Les ballons fluorescents, eux, devraient être peu à peu remplacés. « Ils contiennent des vapeurs de mercure et leur fabrication va être interdite », complète Romain Farez.
L'ensemble du réseau a une puissance globale de 416 kilowatts. Pour consommer moins d'énergies, la puissance d'éclairage est abaissée à certaines heures (voir encadré). L'allumage et l'extinction, eux, sont gérés grâce un système de radio. « En fonction de l'heure et de la luminosité, les lampes équipées reçoivent un signal venant des ondes de France Inter. C'est l'horloge astronomique, détaille Romain Farez. C'est pour cela qu'en fonction des lampes, l'allumage ne se fait pas en même temps selon qu'elle soit réglée en horloge astronomique ou en système d'horloge simple. »
Dans sa mission, la SETI gère aussi l'entretien de l'éclairage des trois stades ainsi que les feux tricolores de sept carrefours et huit passages piétons. « Les feux tricolores présentent très peu de problèmes. Il faut juste régler le temps de passage quand il y a des travaux sur un axe par exemple. Pour les stades, il y a peu de maintenance, puisque les projecteurs ne sont pas allumés tous les jours. »
La SETI détient le marché de l'entretien de l'éclairage chaunois jusqu'en 2015, un marché qui ne manque pas de lumière.
Emmanuel CROGNIER
Quatre médaillés à la Seti
Quatre médaillés à la Seti
Publié le mercredi 23 janvier 2013 à 14H00 - Vu 33 fois

Les récipiendaires ont été félicités par leurs collègues.
L’entreprise Seti, installée boulevard de l’Europe, a procédé dernièrement à la remise de quatre médailles du travail : médaille de bronze (15 ans) à Bruno Gauthier ; médaille d’argent + diplôme (pour 20 ans) à Philippe Dubois et Francis Mollet ; médaille de vermeil (pour 25 ans) à Hervé Tisserant. Ces remises ont été accompagnées d’une petite gratification de l’entreprise en fonction de l’ancienneté. Elles ont été précédées d’une rétrospective du directeur sur les éléments marquants de l’année 2012 et des perspectives à venir sur fond de crise, pour l’année 2013 « avec un souci de mobilisation, solidarité et de vigilance pour tous et néanmoins quelques investissements programmés en renouvellement d’engin et camion ». Le président Luc Boucher a participé à la remise des médailles. Cette cérémonie s’est poursuivie avec le pot de l’amitié avant de partager le repas traditionnel du nouvel an à l’entreprise avec tous les salariés (sauf un malade). L’après-midi s’est terminée avec l’habituelle galette des rois.
Vœux de l’entreprise chaunoise Quatre médaillés du travail à la SETI
Vœux de l’entreprise chaunoise Quatre médaillés du travail à la SETI
Publié le mercredi 23 janvier 2013 à 11H00 - Vu 17 fois

Cette cérémonie annuelle est l’occasion pour le directeur de faire le point sur l’activité mais aussi de partager un moment avec l’ensemble du personnel.
Entreprise, France et situation internationale (Europe et monde…), le directeur de la SETI, Régis Labruyère, a tout balayé vendredi matin dans les locaux lors de ses vœux durant lesquels quatre médailles du travail ont été décernées. Face au personnel presque complet, soit une trentaine de salariés, le responsable a parlé de crise mais également de motivation : « Nous sommes une petite boîte. On se bagarre pour avoir du boulot. Nous sommes tous dans le même bateau. » Des investissements seront malgré tout réalisés en 2013, essentiellement dans l’achat de matériel neuf ou d’occasion. Régis Labruyère veut être prêt à embrayer quand l’économie va repartir. Le souci actuel est surtout lié à la météo. L’entreprise qui travaille dans l’installation de branchements pour des fournisseurs d’énergie ne peut dérouler les câbles en dessous de 5°C. Les médaillés comme l’ensemble du personnel ont reçu les encouragements de Luc Boucher, directeur de général de la Société d’intérêt collectif agricole d’électricité de l’Aisne qui a racheté l’entreprise voici quinze ans. Les médailles de bronze (Bruno Gauthier), d’argent (Philippe Dubois et Francis Mollet) et de vermeil (Hervé Tisserand) ont été remises au titre de l’ancienneté maison.

